Baba Conrad Sarr
"De la noblesse de ses aspirations."
« Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit !».
C’est au début des années 90, que fort des recommandations faites par son père, Conrad Sarr s’installe dans la petite échoppe de la rue Jean Mermoz, Là au rythme des saisons il travaillera faisant honneur à sa filiation.
Avec noblesse et humilité à l’image de son père Babacar dont en hommage il utilisera le prénom, Baba partage son savoir-faire et se démène avec passion.
Rarement lieu n’aura été aussi atypique, car à l’image de son propriétaire ses vertus sont magiques, dans ce véritable barnum constitué au fil de voyages et de rencontres, les amoureux du soulier se succèdent et y oublient leur montre, car ici ni distinction de classe, d’éthnie ou de religion, on fait que le temps passe au gré de bonnes discussions.
C’est au début des années 90, que fort des recommandations faites par son père, Conrad Sarr s’installe dans la petite échoppe de la rue Jean Mermoz, Là au rythme des saisons il travaillera faisant honneur à sa filiation.
Avec noblesse et humilité à l’image de son père Babacar dont en hommage il utilisera le prénom, Baba partage son savoir-faire et se démène avec passion.
Rarement lieu n’aura été aussi atypique, car à l’image de son propriétaire ses vertus sont magiques, dans ce véritable barnum constitué au fil de voyages et de rencontres, les amoureux du soulier se succèdent et y oublient leur montre, car ici ni distinction de classe, d’éthnie ou de religion, on fait que le temps passe au gré de bonnes discussions.
1966